Après douze mois de négociations et investigations intensives, Sanoma a décidé de grouper ses activités médias belges et néerlandaises. Le choix pour un avenir commun met tout de suite un terme aux projets avec les candidats d’incorporation potentiels.
À partir du 1er janvier, Sanoma créera une nouvelle business unit stratégique qui englobera ses sociétés médias néerlandaises et belges. Les sociétés jointes seront conduites par le CEO néerlandais actuel Peter de Mönnink.
Henk Scheenstra, COO Content Media actuel aux Pays-Bas, a été engagé en tant que président du Conseil d’Administration de Sanoma Media Belgium. Scheenstra rapportera à Peter de Mönnink. Sanoma cherche à achever le processus d’intégration endéans les douze mois. Le but est de grandir, d’exploiter toutes les synergies et les opportunités d’intégration possibles ainsi que la connaissance et l’expérience des deux sociétés de façon optimale.
Dans le cadre de ce changement, CEO Hans Cools délègue ses responsabilités au président Henk Scheenstra et à CFO Yves Berlize, qui est nommé comme COO. Berlize est également responsable du programme de développement de Sanoma Media Belgium. Après une période de transition, Cools quittera la société en février.
Harri-Pekka Kaukonen, le président et CEO de Sanoma Group: « Il y a avait beaucoup d’intérêt des candidats d’incorporation potentiels, mais notre analyse finale a indiqué que le plus grand potentiel structurel, financier et de croissance pour nous se trouvait dans le groupement des forces de nos activités néerlandaises et belges. En hébergeant les activités belges dans un groupe belgo-néerlandais plus large, nous ferons des économies d’échelles d’une activité combinée et la connaissance et l’expérience liées, sur notre chemin vers une transformation digitale plus rapide ».
Yves Berlize: « Nous avons déjà développé beaucoup de plans et un grand nombre d’hypothèses autour des opportunités de croissance et des synergies possibles. Nous allons immédiatement valider ces hypothèses. Aussi longtemps que cet exercice se fait, on ne sait pas se prononcer au sujet de l’impact sur notre organisation et nos collaborateurs ».
