La dernière vague CIM est un véritable raz de marée Sudpresse puisqu’elle confirme le numéro 1 de la presse quotidienne francophone. Chaque jour, 1,2 million de personnes choisissent Sudpresse pour s’informer. C’est la preuve que les belges francophones attachent une grande importance aux informations de proximité que Sudpresse apporte au quotidien.
La Meuse, La Nouvelle Gazette, La Province, Nord Éclair, La Capitale et Sudinfo.be sont les médias préférés des Belges francophones. Si l’on comptabilise toutes les personnes qui ont un contact quotidien avec l’une des marques, Sudpresse touche donc 1,2 million de Belges francophones chaque jour.
Proximité
« Notre fierté, c’est cette proximité avec nos lecteurs », commente Vincent Brossel, le directeur du marketing. « Les citoyens ont un intérêt de plus en plus marqué pour la proximité. On le voit avec l’engouement de plus en plus prononcé pour la presse régionale et locale, mais aussi dans leurs centres d’intérêt, ce qui vaut par exemple pour l’alimentation et les circuits courts. Nos marques sont présentes partout en Belgique francophone. Nous avons des rédactions aux quatre coins de la Wallonie, aussi à Bruxelles. Nous sommes les seuls à faire cela et c’est ce qui fait aussi notre force. » Si Sudpresse est fort dans toute la Belgique francophone, les titres sont incontournables dans deux provinces : à Liège et dans le Hainaut. Là, c’est plus d’une personne sur trois qui choisit, jour après jour, une des marques pour s’informer.
Belle récompense
« C’est la récompense de beaucoup de travail de toutes les équipes, le fruit de toutes les réformes au sein de la rédaction », précise Demetrio Scagliola, directeur des rédactions et rédacteur en chef. « La proximité et la transformation digitale sont au cœur du projet, c’est aussi la proximité avec les centres d’intérêt des lecteurs et lectrices : l’info de proximité sur leur commune, le sport local avec les résultats des rencontres des jeunes, etc. On a également fait tout un travail sur la ligne éditoriale et la déontologie qui renforce notre crédibilité. Nous faisons, par exemple, intervenir de nombreux experts dans nos colonnes. »
« Nos marques sont fortes et rassurantes, en cette période où chaque média lutte contre les fakes news, nous constatons avec joie la confiance que nous témoignent les plus jeunes. Avec près de 32% de part de marché auprès des 12-14 ans et 30% de parts de marché auprès des 25-44 ans, nous nous plaçons en tête de l’info de qualité auprès de ces publics exigeants. »
« Passez en mode local, c’est notre ADN, notre volonté de se rapprocher toujours plus des intérêts de nos lecteurs. Avec 35% de parts de marché de moyenne en Province du Hainaut et de Liège, Sudpresse enregistre également une hausse considérable en Province de Namur et Luxembourg (24% de pdm). »
Vincent Brossel insiste sur les produits numériques, en plein boom, plus encore depuis le début de la crise du Covid-19. « On vend un petit peu moins de journaux au numéro, mais on stabilise nos abonnés et on les remercie d’ailleurs pour cette fantastique fidélité. Et il y a donc de plus en plus de lecteurs pour nos journaux en version numérique, nos applis, nos sites, payant et gratuit, qui jouissent d’un très vif intérêt. »
Et ce n’est qu’un début
Pierre Leerschool, administrateur délégué du groupe Sudpresse, promet la poursuite de cette montée en puissance. « On va proposer d’autres services indispensables aux lecteurs : personnalisation de l’information, newsletters thématiques, résultats et vidéos de sport, jeux, etc. On se réjouit aussi de voir une communauté de plus en plus jeune s’intéresser à nos médias, c’est très positif. Ici, l’intérêt pour l’info sportive est très marqué, aussi pour l’info de proximité. C’est un bon choix de leur part, puisque nous sommes numéro 1 en Belgique francophone et nous sommes les seuls à avoir des bureaux dans toutes les régions. Nous offrons une information complète : locale, nationale et internationale. »
Vraie place
Avec une audience qui dépasse le million, « Sudpresse est enfin à sa vraie place, après des années où des problèmes de méthodologie la sous-estimaient », commente Bernard Marchant, le CEO du Groupe Rossel, dont Sudpresse fait partie. « C’est une très belle performance. Sudpresse, avec sa puissance digitale, peut maintenant se comparer aux leaders du Nord du pays. »
