Les porte-parole flamands s’inquiètent d’une trop forte pression sur les rédactions

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D’après une étude menée auprès des porte-parole de plus de 130 entreprises, organisations et institutions de Flandre, les porte-parole flamands s’inquiètent d’une pression grandissante sur les rédactions. Celle-ci implique une baisse de la qualité de l’information et la propagation de fausses informations car non préalablement vérifiées. Une autre inquiétude ressort également de cette enquête, le fait que des informations importantes ou positives n’ont pas toujours une place adéquate.

Les méthodes utilisées par les porte-parole pour entrer en contact avec les journalistes restent classiques. Tom Van de Vreken, porte-parole chez De Lijn confirme: « Le traditionnel communiqué de presse, l’approche individuelle ou l’organisation de conférences de presse restent les méthodes les plus utilisées. Les médias sociaux sont employés dans une moindre mesure, alors même qu’environ la moitié des sondés estime qu’ils atteignent autant leur but que la presse traditionnelle ».