Lancement de la 11ème édition de l’étude Matrix avec deux thèmes supplémentaires

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La Belgian Association of Marketing (BAM) lance, en collaboration avec la Digital Media Association (DMA) et l’United Media Agencies (UMA), la nouvelle édition de l’étude Matrix.

Pour la huitième année consécutive, Matrix offre une analyse chiffrée des investissements digitaux en Belgique. Ces chiffres sont importants, le digital n’étant pas repris dans les chiffres Nielsen/MDB qui collectent les investissements média. Pour 2019, Matrix fixait ainsi les investissements digitaux en Belgique à 939 millions, soit 41,1 % des investissements totaux.

Pour la première fois, le marché des investissements publicitaires numériques tout entier a été valorisé. Cette année encore, Matrix analysera la fréquence des investissements, le type de campagne (Awareness, Drive to Store, Drive to Web) et la part de l’achat programmatique dans les investissements digitaux. L’étude proposera en outre les investissements digitaux en termes de pourcentages du mix média total, mais aussi en chiffres (€) absolus, et ce, secteur par secteur et avec une répartition Nord/Sud.

Cette année, , l’étude de base sur la mesure des investissements publicitaires digitaux sera complétée par deux volets complémentaires qui seront proposés en cours d’année.

« Depuis l’an dernier, grâce à la collaboration avec l’UMA et la DMA, Matrix a bénéficié d’une dynamique supplémentaire », explique Stéphanie Radochitzki (IPG Mediabrands), responsable de l’étude chez BAM. « En 2020, il y avait déjà eu des analyses complémentaires, mais aujourd’hui nous rendons cela encore plus tangible avec, outre la publication des résultats de l’étude de base prévue en avril, deux autres focus en juin et en octobre, à l’initiative de la DMA. Matrix pourra donc de cette manière saisir des sujets supplémentaires liés à l’actualité. »

Études supplémentaires sur la data et le marché direct

L’élément crucial dans cette étude est sa grande représentativité. Stéphanie Radochitzki : « En 2020, avec plus de 700 répondants dont deux tiers étaient des annonceurs, Matrix avait collecté suffisamment d’informations pour présenter une première ébauche des investissements par secteur économique. Cette année, le but est d’élargir davantage la base de répondants afin d’enrichir l’analyse sectorielle. »

Brenda Liebens (SBS), Vice-Présidente de la DMA : « Les deux études supplémentaires nous permettrons de poser une série de questions en fonction des thèmes d’actualité. Ce questionnement supplémentaire nous permet de prendre le pouls du marché. » Concrètement, Matrix attachera une attention supplémentaire, cette année, à la data et au marché direct. Brenda Liebens : « Nous cherchons ainsi à découvrir, d’une part, comment le marché se prépare à un avenir sans cookies, normalement prévu pour 2022, et, d’autre part, quelle est la part du marché direct (sans intervention d’agences média ou de trading desks, nldr.) par type de média. »

Ces deux études complémentaires renforceront encore le positionnement de Matrix en tant qu’étude de référence en matière d’investissements digitaux dans notre pays. « Le digital est devenu un canal essentiel dans la communication des marques et plus nous en saurons sur les investissements digitaux du marché belge, plus nous gagnerons tous en expertise. »

François Chaudoir (Space), Président de l’UMA : « l’UMA est convaincue de la complémentarité entre l’étude Matrix et le Digital Investment Benchmark publié trimestriellement par l’Association des agences média ».

La BAM, la DMA et l’UMA appellent dès lors toutes les parties prenantes à participer à l’étude afin de dresser la carte du marché avec un maximum de granularité. Nous invitons quiconque travaillant dans une agence de communication, une agence média, un éditeur, une régie ou chez un annonceur et qui n’a pas encore été contacté, à participer à l’étude via ce lien.