Space Essentials – Debunking digital myths: 7 fact-based positions

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Dans le nouveau Space Essentials, Bernard Cools (Chief Intelligence Officer) et Stéphanie Radochitzki (Digital Strategy Manager) passeront en revue 7 mythes sur la publicité digitale, appliqués à un contexte belge.

Ce livre blanc vise à casser certains clichés qui existent dans la publicité digitale belge.

En très bref – Les 7 mythes que nous évoquons:
– La fraude à la publicité digitale représente en Belgique un ratio assez minime de 2 à 3%. A surveiller évidemment, mais on est loin de ce qui est cité sur des marchés plus larges.
– Environ 50% des contacts en ligne ne sont effectivement pas visibles. Mais une visibilité à 100% n’est pas nécessairement possible et peu honnête si on ne l’exige que de la publicité digitale.
– Le «brand safety» c’est la présence publicitaire dans des contextes qui ne soient pas contre-productifs, voire nuisibles, à la marque. Elle se gère efficacement de différentes manières, mais sa définition varie d’un annonceur à l’autre.
– Transparence des flux financiers : le digital a accru le nombre d’intermédiaires ou de prestataires techniques par rapport aux médias traditionnels. Leur rémunération impacte les flux financiers entre annonceurs et éditeurs, mais cette rémunération des services s’inscrit dans le cadre de coûts d’espace globalement moindres.
– Contrairement à ce qui se prétend, la vidéo digitale se base sur des standards de mesure plutôt précis. Un consensus est nécessaire pour les définir les seuils.
– L’ad blocking progresse, peut-être de manière moins radicale qu’on le prétend. Et des mesures préventives («LEAN» pour «(Light, Encrypted, Ad choice based, Non invasive») dès la conception peuvent permettre de réduire la croissance du phénomène.
– La mesure «third party» du digital n’est pas généralisée. Son adoption suppose une pression concertée du marché belge sur les acteurs en présence.

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